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Notre cheminement

      Lors de la création de notre association, nous possédions déjà une piste en direction de la Floride aux USA. L’objectif était de participer à la gestion et protection des Drymarchon auprès de la structure The Orianne Society. Ces serpents, parmi les plus intelligents du monde, sont de grandes couleuvres pouvant atteindre 2,5 mètres. Leur territoire originellement réparti sur la Géorgie et la Floride, s’est restreint à cette dernière. De plus, elle subit un grave phénomène de disparition d’habitat. L’espèce subit également les dégâts du trafic routier en se faisant écraser lors de ses déplacements, et la diminution de ses abris obtenu par une coopération avec la tortue gaufrée. Malheureusement, cette structure ne pouvait pas nous accueillir.

      Suite à cela, nous avons choisi de rester sur le thème des reptiles. La piste suivante s’est donc trouvée au Honduras, sur l’île d’Utila. Il s’y trouve un centre d’élevage d’un lézard endémique, l’Iguane noir d’Utila. Mais cette espèce est menacée à cause du braconnage, et de la destruction de son habitat à cause de la pollution des mangroves. Il y a donc un programme de protection, comportant un centre d’élevage pour la reproduction et réintroduction de cette espèce d’élevage. Notre demande de volontariat a été chaleureusement accueillie. Mais entre-temps, le Honduras a été classé comme pays dangereux. Nous pouvions toujours y aller, mais sans être sûr de pouvoir rentrer. Nous avons évalué cela quelque peu problématique, et décidés de chercher autre chose.

      Suite à cela, nous avons choisi de rester sur le thème des reptiles. La piste suivante s’est donc trouvée au Honduras, sur l’île d’Utila. Il s’y trouve un centre d’élevage d’un lézard endémique, l’Iguane noir d’Utila. Mais cette espèce est menacée à cause du braconnage, et de la destruction de son habitat à cause de la pollution des mangroves. Il y a donc un programme de protection, comportant un centre d’élevage pour la reproduction et réintroduction de cette espèce d’élevage. Notre demande de volontariat a été chaleureusement accueillie. Mais entre-temps, le Honduras a été classé comme pays dangereux. Nous pouvions toujours y aller, mais sans être sûr de pouvoir rentrer. Nous avons évalué cela quelque peu problématique, et décidés de chercher autre chose.

      Suite à nos deux échecs de recherche, nous avons été séduits par un pays particulier : le Belize. En effet, ce pays est très riche, d’un point de vue tant naturel que culturel. Ce qui nous a plus attiré étaient la barrière de corail, les ruines mayas, le jaguar,… Nous avons donc candidaté auprès des divers parcs nationaux. Mais une nouvelle problématique nous a fait affront : le budget. Le coût du voyage et de la vie était très élever, et nous n’étions pas en position de financer cela.

      Suite à nos deux échecs de recherche, nous avons été séduits par un pays particulier : le Belize. En effet, ce pays est très riche, d’un point de vue tant naturel que culturel. Ce qui nous a plus attiré étaient la barrière de corail, les ruines mayas, le jaguar,… Nous avons donc candidaté auprès des divers parcs nationaux. Mais une nouvelle problématique nous a fait affront : le budget. Le coût du voyage et de la vie était très élever, et nous n’étions pas en position de financer cela.

      Notre envie d’aller vers un pays tropical s’est vue compromise. Nous nous sommes donc mis à rechercher auprès des pays européens tels que l’Espagne, l’Angleterre, l’Italie, etc. Le site HelpX offre une grande diversité de possibilités de stages. Mais au final, notre stage a été trouvé grâce à un contact donné par un groupe de notre promotion précédente.

 

      En fin de compte, notre stage s’est trouvé fixé. Direction la Croatie, pour un stage au sein du Parc National de Paklenica. Nous y ferons du suivi de population, sur des espèces tels que chamois, rapaces, oiseaux,…

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